Lame à l’âme ! Après « En finir avec Eddy Bellegueule » et « Histoire de la violence », le romancier Édouard Louis signe un troisième ouvrage autobiographique : « Qui a tué mon père », publié aux éditions du Seuil. Qui a tué mon père, se demande Eddy Bellegueule qui n’hésite pas à nommer les coupables. Dans Qui a tué mon père, Édouard Louis décrypte les mécanismes de domination qui broient les êtres et leurs relations.Stanislas Nordey met en scène et interprète la parole et le regard d’un fils sur son père, depuis les premiers souvenirs d’enfance jusqu’à sa « mort sociale ». La critique a tendance à réduire le propos à ce qui concerne les rapports d’un père et d’un fils, d’un père cultivant les valeurs de masculinité et d’un fils homosexuel. Ce court extrait pourrait résumer l’excellent livre d’Edouard Louis, qui a tué mon père, aux éditions « Seuil ». Résumé. « Est-ce qu’il est normal d’avoir honte d’aimer ? En finir avec Eddy Bellegueule était un cri du cœur, celui d’un jeune homme revenu de l’enfer, tentant désespérément de comprendre les raisons profondes de son enfance de malheur. Ce crime parfait que, … On sent l'admiration indicible de ce père pour son fils qui ne comprend pas pourquoi son père est si lointain, mais le silence et l'indifférence apparente étaient certainement le barrage à des torrents de sentiments. L’écrivain publie "Qui a tué mon père" (éditions Seuil). (Qui a tué mon père fait partie d’un top 4 des plus mauvais livres à l’eau de rose aux côtés du roman d’une comédienne de Plus belle la vie.) Qui a tué mon père d'Édouard Louis Éditions du Seuil J'ai tout entendu sur ce livre : indigent, ni fait ni à faire, simpliste, creux, inutile, un livre qui se moque du monde… On a beaucoup vu, lu, entendu Edouard Louis dans tous les médias qui font l'opinion. Vie de malheur . Quel danger elle est veuve elle est jeune elle était archi cocue (c est elle qui l avait dit dans une interview) a priori jojo n était pas contre la relation chacun fait ce qu' il … » Cette question pourrait résumer le nouveau roman d’Édouard Louis qui livre “une lettre au père” d’une extrême intensité, intensité due à la violence des sentiments exprimés, plus aimants que haineux. Après Pour en finir avec Eddy Bellegueule, et Histoire de la violence, Edouard Louis revient sur les liens du crime. On a écouté son cri de rage, ses colères froides autour de 3 thèmes assez sympathiques ( l'influence de la politique sur le corps des masses laborieuses, la fabrication des pseudos mâles avec une masculinité exacerbée par la contrainte sociale et ses diatribes … A travers le récit de son enfance, il revient sur l'histoire de son père qu’un accident de travail a physiquement et psychologiquement broyé, et s’adressant à lui, sur cet amour qu’enfin, il lui avoue. À l'Élysée, le livre se passerait de main en main. – « Indignés médiatiques : « leur premier objectif, c’est qu’on parle d’eux », Marianne , 16 juin 2018. L’auteur réalise une biographie de son père, vue de sa personne, extrêmement touchante, dure et sensible à la fois. PhenixWebTV est un micro site qui recense tout ce qui tourne autour de l'art en général, en ayant un léger penchant pour l'art Africain qui, rappelons le, s'exporte et s'expose de plus en plus à travers le monde. C'est ce que raconte mercredi L'Opinion à propos du nouvel ouvrage d'Édouard Louis Qui a tué mon père…